Les sextoys et boules de geisha bientôt l’ennemi numéro un des portiques de sécurité

Avec les coupes ongles, les produits inflammables, il semblerait que les sextoys soient de plus en plus problématiques pour les services de sécurités des aéroports. C’est ce qu’il ressort d’un article de pascamax.

On apprend en effet que la démocratisation aidant, on en retrouve de plus en plus dans les aéroports. Quand ils ne font biper les portiques de sécurités aériennes, leur forme suspecte éveille la suspicion des agents.

Les situations induites, un peu gênantes, font perdre beaucoup de temps aux agents de sécurité.

L’article soulève aussi les problèmes en cas de décision d’interdiction en cabine. En effet, comment signaler l’interdiction à l’aide d’un logo ? Comment récolter et que faire des objets confisqués ?

De même, la situation en soute fait perdre pas mal de temps, à cause des parties métalliques et des formes non conventionnelles. D’ailleurs, l’article ne traite pas de la formation des équipes.

L’auteur ne semble pas bien connaître le secteur aérien pour partir en conjectures avant même de se poser la question de la formation. A l’instar de nombreux autres objets dont certains ne sont pas moins problématiques, les équipes de sécurités sont formées à la détection d’objet précis, dangereux ou inoffensifs (un opérateur performant est une opérateurs avec peux de faux-positifs).

Ce qui pose problème est, il est vrai,  la conjugaison de 3 facteurs :

  • un sextoy est un objet source de faux positif
  • c’est un objet intime potentiellement source de problèmes, qui touche l’intime et s’avère difficile à gérer dans l’espace public
  • un objet voué à se démocratiser encore plus avec l’évolution des moeurs et un usage passé dans les moeures et encouragé (boules de gesiha et rééductaion du périnée par exemple)